EL PERIÓDICO GLOBAL
PRIMERA
EDICIÓN
LUNES 8 DE ABRIL 2019 | AÑO XLM | Número 20678 | EDICIÓN NACIONAL | precio: 1,50 euros
LE CASSE DU SIÈCLE, DEUXIÈME PARTIE.
resque deux ans après l'effroyable braquage de la Fabrique Nationale de La Monnaie et du Timbre de Madrid, les malfaiteurs au masque de Dali ont reprit du service ce vendredi, en attaquant la Banque d'Espagne.
Ils étaient repartis avec la modique somme de 984 Million d'euros qu'ils avaient fabriqué en moins de onze jours, tout en gardant plus de 60 otages avec eux, dont la fille de l'Ambassadeur du Royame-Uni. Suite au mouvement de rébellion créé par la bande du Professeur, le peuple espagnol a, à la surprise des autorités et du gouvernement, répondu à leur appel de détresse, en se regroupant devant la banque
nationale, après que deux zeppelins qui venaient de survoler la ville, n'eussent lâché près de trois millions d'euros sur la ville. Durant cette diversion, les malfrats ont donc eut le temps de s'infiltrer au sein de la banque et de prendre en otage les personnes déjà présentes à l'intérieur.
Nous ne savons pas encore leur objectif, mais connaissons l'identité de certains d'entre eux grâce à leur précédant braquage, et ce, malgré le fait qu'ils utilisent des pseudonymes afin que le public ne puisse pas les reconnaître.
Le groupe de Sergio MARQUINA, alias Le Professeur, ne craint donc
pas que les autorités espagnoles connaissent leur identité.
L'équipe du Colonel Luis TAMAYO est déjà, depuis trois jours, en négociation avec les braqueurs, qui réclament que "justice soit rendue", puisqu'ils proclament que Aníbal CORTÉS, alias Rio, soit libéré et leur soit rendu vivant. CORTÉS avait été capturé en Janvier dernier sur les côtes du Panama, là où il s'était réfugié après le premier braquage.
Les autorités refusent de nous donner des informations concernant CORTÉS, mais il semblerait qu'un échange soit en cours de discussion: Le Professeur
parlerait d'échanger celui qu'on appelle Rio contre plusieurs otages de la Banque. Selon ce dernier, CORTÉS aurait été torturé durant plusieurs mois, ce que les autorités et le gouvernement espagnol nient.
Il est encore trop tôt pour déterminer ce que ces personnes veulent, mais les appels téléphoniques entre MARQUINA et l'inspectrice négociatrice Alicia SIERRA se multiplient de jours en jours.
H. HERNANDEZ, Madrid.